Pour le challenge AZ 2022, je vous propose un passage en revue des métiers de mes ancêtres et collatéraux, avec un focus particulier sur certains ancêtres.
Bonne lecture !!
E comme Employé – Etaleuse
Les métiers commençant par E les plus représentés
Il s’agit bien sur du métier d’employé en tous genres : de commerce, de chemin de fer, de banque, de poste.
Bon nombre de mes ancêtres vivaient de la terre et de l’élevage mais quand ils n’étaient pas tous aux champs, certains et certaines étaient employés dans diverses voies.
Focus sur mes ancêtres et collatéraux
Je vous invite à retrouver deux ancêtres :
L’employé de l’octroi
Les octrois étaient des impôts que les communes étaient autorisées à percevoir sur certains objets destinés à la consommation locale, pour faire face à leurs dépenses.
On trouvait un octroi à chaque entrée de la ville de Toul. Quatorze fonctionnaires étaient chargés de percevoir un droit sur les denrées qui entraient dans la ville et ces taxes faisaient partie des principaux revenus de la ville.
Eugène Fernand Paul CHARTREUX, nait le 12 février 1898 à Autreville (88), fils de cultivateur.
Lorsqu’il se marie avec Marie Thérèse Christiane POIROT, en 1921, sa profession est Employé de l’octroi.
Ensemble, ils résident à Mont-l’Etroit (54) à 25 km de Toul.
L’octroi de Toul a été supprimé en 1927.
En 1938, Eugène Fernand Paul, devenu veuf, se remarie avec Marie Lucie BLANC. Sa profession est alors employé de bureau et il est domicilié à Nancy.
L’étaleuse
Maria Louise FLANDRINCK, petite-fille de mes sosas 56 et 57, Jean-Baptiste Toussaint et Virginie Séraphine LOONIS, naît à Lille (59) en 1885 et y vit jusqu’à sa mort en 1970.
Elle exerce le métier d’étaleuse dans une filature de Lille.
Ouvrière dans une filature de coton chargée au moyen d’une machine appelée batteuse-étaleuse d’étaler et enrouler les étoupes de coton épluché en rubans réguliers avant cardage (source vieuxmetiers.org).
En 1913, Lille regroupe un tiers de l’industrie cotonnière française (source Gallica).