Cet article a été publié la 1ère fois lors du Challenge AZ 2023.
Pour le Challenge 2024, je reprends une série d’articles publiés à l’occasion des précédents « Challenge AZ » depuis 2016.
Présentation
Aimée Louise Flandrinck est née à Paris IIe le cinq avril 1904 au 48 Rue des Petits Champs alors que ses parents habitent au 8 Rue Godot de Mauroy.
Fille de Henri Gustave Cornil et de Augustine Marie Clémence ROY.
Elle naît un an après sa sœur Henriette Eugénie Germaine, née le deux avril 1903 à la même adresse. Ses parents sont domiciliés Rue Cambon.
Son petit frère, Roger Pierre Clément, naît le vingt novembre 1908, à Paris IXe, au domicile de ses parents 8 Rue Godot de Mauroy.
Au mois de mars 1906, elle est en villégiature avec sa sœur chez ses grands parents maternels à Chantenay-Villedieu. Sans doute en avaient-ils la garde.
Son mariage
En 1926, toute la famille Flandrinck habite à Boulogne-Billancourt, au 41 Rue du Vieux-Pont-de-Sèvres.
Aimée Louise y est modiste (lire l’article).
Le 18 février 1928, Aimée convole avec André Emile HARROY, originaire de Vaucouleurs (Meuse) et domicilié à Boulogne-Billancourt dans le même immeuble.
Son parcours
Un an après son mariage, le 24 mars 1929, naissent les jumeaux Michel et Marie-Rose à Paris XVe 78 Rue de la Convention.
Puis le couple déménage vers Gevrey-Chambertin (Côte d’Or), où naissent Simone en 1931 (ma maman), Josette Henriette et Bernadette en 1935.
Le malheur frappe la famille lorsque décède Bernadette alors âgée de 13 mois en 1936.
Le dernier enfant, Jean-Pierre, naît à Saint-Cyr l’Ecole le 8 février 1942.
Mon grand-père André Emile était chauffeur mécanicien, métier qui, sans doute, explique ces déménagements. Mes grands-parents ne sont hélas plus là pour le dire.
Après s’être installés à Saint-Cyr l’Ecole, au 37 rue du Bois Robert (photo), pendant de longues années, un dernier déménagement vers la Rue Romain Rolland s’impose.
Mon grand-père André Emile y décède en 1976 puis ma grand-mère en 1993 (à la maison de retraite du Chesnay).
Sur la photo, on voit ma grand-mère Aimée au fond, ma maman, moi et le chat.
Quel bonheur de posséder des photos ! c’est vraiment ce qui me manque dans ma famille et il n’y a plus d’anciens que je pourrais interroger…