Ernest Emile HARROY en 30 questions – 22/30 – sa fratrie

Dans la cadre d’un #genealogie30 initié par Sophie @gazetteancetres, je vais tout au long du mois d’avril répondre à 30 questions concernant cet ancêtre.
Retrouvez l’ensemble des réponses sur l’article chapeau.

Quelle était sa fratrie ?

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Lors du ChallengeAZ, je vous avais présenté mes arrières-arrières-grands-parents, dont François Joseph HARROY et Reine Onézime MAHALIN, parents de Ernest Emile.

Ernest Emile est le cinquième enfant d’un fratrie de 14, tous nés à Pagny-la-Blanche-Côte.

Malheureusement, six d’entre eux décéderont en bas âge.

Ses frères et soeurs

Emma Aglaé, née 1859. Part au Havre où elle donne naissance à deux enfants en 1882 et 1887. Elle se marie à Constantinople en 1896 et revient en France après le décès de son mari et se remarie à Levallois-Perret.

Alfred Joseph Emile, né en 1862. Boucher puis garçon brasseur. En 1904, il est victime d’un accident en gare de Vaucouleurs où il effectuait une livraison et décède à l’âge de 41 ans.

Aline Eugénie, née en 1864. Se marie avec Nicolas Albert ROLIN, bucheron, en 1884 .

Marie Sophie Marthe née en 1871. Se marie avec Isidore COLAS et vivra sur Saint-Cyr-l’Ecole jusqu’en 1924.

Léon Henri né en 1873. Sera boulanger puis garde frein puis chef de train. Se marie à Pompierre (Vosges) en 1899 avec Marie Mathilde Louise Angelina CLAUDE. Il décède en 1949 à Vrécourt (Vosges).

Marie Sidonie Berthe née en 1875. Elle est confectionneuse chez Seiligman. Se marie avec Louis Constant BARBILLON en 1900 et décède en 1968 à Vaucouleurs (Meuse).

Louis Gaspard né en 1880. Se marie en 1909 avec Justine Lucie PERRIN. Mobilisé lors de la 1ère guerre mondiale, il s’est suicidé près de la gare de Nangis (Seine et Marne) le 28 septembre 1918. Il a été déclaré « Non mort pour la France ».

Très jeune Ernest Emile a donc vécu des événements difficiles :

  • Le départ de sa sœur Emma Aglaé pour le Havre vers 1880
  • Le décès de son frère Alfred Joseph Emile – accident en gare de Vaucouleurs en 1904
  • Le décès de son frère Louis Gaspard en septembre 1918 – alors encore soldat il s’est suicidé près de la gare de Nangis (Seine et Marne)

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